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Fatigue au volant : Savons-nous quand nous arrêter?

Fatigue au volant : Savons-nous quand nous arrêter ?

Selon la SAAQ, chaque année, la fatigue au volant cause en moyenne 78 décès et 8 532 blessés.  On compare les effets d’une longue période d’éveil à ceux de l’alcool.

Notre horloge interne

L’horloge interne qui gère plein de choses, mais aussi le cycle du sommeil, est directement influencée par la lumière et l’obscurité, donc par le jour et la nuit.  Les points creux du cycle de l’horloge interne se situent entre minuit et 6 h et, d’une façon un peu moins marquée, entre 13 h et 15 h. Pendant ces périodes, le métabolisme ralentit, la vigilance diminue et la fatigue se fait sentir.

Les fausses solutions

Boire du café, baisser une vitre ou monter le volume de la radio ne sont pas des solutions efficaces et durables.  Tout d’abord, la caféine prend plusieurs minutes avant d’agir. Si elle a la capacité de nous rendre plus alertes momentanément, encore là, ses effets sont très différents d’un individu à l’autre.

Une seule solution : s’arrêter!

La fatigue au volant ne se contrôle pas!  On ne peut pas « décider » d’être moins fatigué. C’est le corps qui décide. La volonté, l’expérience de conduite, la motivation et tous les « trucs » pour lutter contre la fatigue n’y changeront rien.

Quand les signes de fatigue se font sentir, la seule solution réellement sécuritaire consiste à s’arrêter pour faire une pause et se dégourdir ou faire une sieste de 15 à 30 minutes, idéalement.

Quand on y pense, 15 minutes d’arrêt dans un endroit sécuritaire, c’est vraiment mieux qu’un grand « boum » quelques mètres plus loin!


Jackie Beaudoin, Leclerc Assurances et Services Financiers
Source :  Inspiré d’un article sur le site de la SAAQ